• Asia

    Ceci est une ancienne rubrique qui ne recevra plus d'updates.

  • On a tous entendu parler au moins une fois des magical girls, ces filles aux pouvoirs... magiques, qui font rêver des générations de petites filles, et, très souvent d'adultes.

    Les Magical Girls

    Sailor Moon, ou "美少女戦士セーラームーン" est un manga sorti originalement en 1992. Il fut tellement célèbre qu'il fut adapté en animé, jeu vidéo, comédie musicale, et bien d'autres encore. Il est l'emblème même des "Magical Girls". L'histoire suit Usagi Tsukino, une fille banale qui, suite à une drôle de rencontre avec un chat, se transformera en "Magical Girl" et combattra le mal. (Grosso modo). 

    Quand j'étais petite j'étais plus dans おジャ魔女どれみ  (magical doremi) qu'autre chose. Probablement pour l'humour qu'il contenait plus que pour l'histoire - et c'est pour ça que je me suis arrêtée vers la troisième, quatrième saison, quand l'histoire prenait une tournure trop dramatique. En général les magical girls ont presque toutes cette période bien caractéristique de transformation où le monde semble disparaître et seul un fond de couleur aléatoire apparaît, avec une petite routine où l'on voit leurs habits apparaître magiquement. Le pouvoir de l'animation, je vous dis.

    Les Magical Girls

    Sugo Chara, transformation

    Mais ces derniers temps, les auteurs préfèrent se consacrer à une tournure plus sombre que ces histoires joyeuses, adorables et étincelantes de couleurs. Il y en a eu bien avant, mais 魔法少女まどか☆マギカ  fut le plus célèbre. Il a plusieurs noms mais celui que je retiens toujours est Mahō Shōjo Madoka Magika. J'en avais déjà parlé avant (lien: ici mais je pense qu'il serait nécessaire de l'ajouter. Pour un rapide synopsis: Madoka rêve d'une jeune fille prise dans une sombre bataille. Terrifiée, quelle sera sa surprise lorsqu'elle découvrira que la même fille de ses rêves vient d'être transférée dans son école ? Celle-ci la prévient plusieurs fois de ne rien changer et de rester comme elle est.Ignorant ces avertissements qu'elle ne comprend pas, Madoka, avec son amie Sayaka, vont rencontrer par hasard un animal étrange qui leur proposera de devenir magical girls et de combattre les sorcières, qui tourmentent les gens et causent des morts. Malgré les avertissements de Homura, la nouvelle transférée, Madoka accepte et découvrira le monde sombre et effroyable des magical girls.
    Je pense que le synopsis en dit déjà long. L'anime commence plutôt "brutalement", avec le rêve de Madoka qui est comme un signal que cet anime ne sera pas tout mignon. Cependant vu la suite des évènements, on y doute sérieusement - adorable, tenues et transformations étincelantes, combats mais sans trop de violence non plus. Tout y est pour un parfait magical girl. Mais tout prend une tournure brutale, les personnages meurent un à un, plus rien n'a de sens, la vie devient un chaos total. Cette descente inopinée nous prouve que les mêmes les coeurs les plus purs, les plus justes et les plus innocents (définition d'une magical girl) peuvent connaître le désespoir (oups, référence à Danganronpa.)
    J'ai commencé récemment un anime très similaire à celui-ci intitulé Maho Shojo ikusei Keikaku: il existe un jeu vidéo de magical girls extrêmement tendance. La légende dit que une joueuse sur dix mille deviendra une vraie magical girl; Koyuki Himekawa n'y croit pas jusqu'au jour où on lui propose d'en devenir une. Ayant admiré les magical girls depuis sa plus tendre enfance, elle accepte sans hésitation (ou presque). Sa nouvelle vie de justicière lui plaît jusqu'au jour où on l'informe que les 16 magical girls protégeant la ville risquent de représenter un danger pour la quantité d'énergie magique de leur territoire. Fav, le petit animal adorable qui a donné leur pouvoir à chacune d'entre elles, les informe que seule la moitié pourra rester une magical girl et utiliser son pouvoir à guise - les autres mourront.
    Trois épisodes et je meurs déjà d'avoir la suite! Les deux premiers sont passés sous une couverture d'innocence presque parfaite - si on ignore la toute première scène assez gore et la fin du deuxième épisode qui nous laisse - presque - bouche-bés. J'en veux plus ! Il est évident qu'il ressemble beaucoup à Mahou Shoujo Madoka Magica mais je pense qu'avec un peu d'efforts il pourrait le surpasser. Les dessins sont magnifiques ainsi que l'animation. Les personnages ne sont pas tous idiots avec des voix nunuches qui nous donne envie de nous claquer la tête contre un mur - même si certains sont à la limite de l'insupportable. On a les types de personnalités classiques - la trop affective, miss innocence&pureté, celle(ou celui) qui supporte la protagoniste, la chef, la fausse délinquante, celle qui fait comme si elle ne ressentait rien, celle qui ne ressent vraiment rien, les deux imbéciles de service et celles qui, selon sa jauge d'inutilité, a de fortes chances d'être la prochaine à mourir; cependant petite évolution de leur part, je n'en trouve aucun vraiment agaçant (même si certaines sont inutiles). 
    J'espère qu'on me jouera pas le coup de "la protagoniste meurt" parce que même si elle semble très naïve, elle n'est pas si stupide que ça. Je l'aime bien, pour l'instant. 
    Espérons donc que cela ne soit pas décevant !

    Dark Magical Girls

    Maho Shojo Ikusei Keikaku

    Sur ce, à la prochaine !

    Kurumi

     


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  • Hey! 
    Je vous ai manqué? Bien sûr que oui!
    Ces derniers temps il est clair que la plupart de mangas se ressemblent. Les mangas shojos sortent des histoires copié-collées des pires clichés de tous les temps, et les mangas shonen n'ont aucune histoire originale, personnelle ou attachante. 
    Il y a des moments où je suis perdue et triste, et où je me dis:

    "Peut-être que j'ai lu tous les bons mangas."

    J'ai donc décidé ici de faire des Nominations, en donnant une "médaille virtuelle" aux mangas prometteurs (actuellement en cours).   Au fait - je me rends compte que je fais beaucoup de listes de mangas, mais les prochains articles devraient se concentrer sur un manga/manhua en particulier, où sur la culture Japonaise. Devraient.

     

    Médaille de bronze: Godly bells

    Année: 2012
    Statut: En cours
    Nombre de chapitres: 134




    Synopsis: Les Godly Bells, ou cloches divines, choisissent leur maîtres et leur assurent prestige, richesse, gloire et prospérité. Et c'est pourquoi depuis maintenant 150 ans les rois et reines des 6 pays du Monde se réunissent dans l'espoir de se faire choisir par une Cloche Divine. Hong-Ryung est le Roi de Myung-Joo, un petit royaume qui ne fut jamais choisi par une Cloche Divine. Menacé par un éventuel coup d'état et vu comme un Roi faible par le peuple, sa vie changera soudainement lorsqu'il sera choisi par une Cloche Divine...

    Avis: Je m'excuse du résumé assez vague et  conventionnel, mais je risque de spoiler si je m'aventure un petit peu plus loin - même si "l'aventure principale" concerne plus de cent chapitres! Bref, ce manwha très particulier m'a marquée ! Devrais-je notifier du fait que prévenir l'avenir est presque impossible ? Du moins, dans les cinquante premiers chapitres, la suite se fait alors assez prévisible (de temps en temps). J'adore, la touche d'humour, les combats sensationnels, les personnages qui ne sont ni "gentils" ou "méchants", ils ont tous leur part d'ombre et de lumière, ils aident tous à compléter l'histoire avec leurs personnalités bien particulières... Et peu importe ce que vous dites, je suis à 100% pour
    Hong-Ryung x Ha-Hyeon !

     

     

     Médaille d'argent: Kumo desu ga, nani ka?

    Année: 2015
    Status: En cours
    Nombre de chapitres: 11


    Synopsis: Lors d'une mystérieuse explosion, une classe entière d'étudiants meurent et voient leurs âmes se faire transporter dans un autre monde similaire à un mmorpg.
    Notre héroïne se voit elle aussi réincarnée... en araignée! Tout en bas de la chaîne alimentaire, elle se démènera pour survivre et utilisera sa volonté afin de surpasser les plus dangereuses créatures qui lui font face.
    Car ce n'est ni le plus fort, ni le plus intelligent qui survit, mais celui qui supporte le changement!

    Avis: Et bien! Je ne suis pas du style à suivre des protagonistes...trop... Comment dire... Différents? Quand Yumiko-nee m'a proposé de suivre l'aventure d'une araignée j'ai cru qu'elle se moquait de moi. Mais je suis bien contente d'avoir tenté l'aventure! Une comédie à en mourir de rire, avec des situations auxquels on ne se serait jamais attendus. Mais avouons-le que notre héroïne est assez intelligente! A sa place je serais morte dès le début. Sa capacité d'analyse m'a surprise. Je ne peux plus attendre les nouveaux chapitres!

     

     

                                       
    et enfin...

    Médaille d'or: Shounen Shoujo (AKATSUKI Akira)

     

    Année: 2016
    Status: En cours
    Nombre de chapitres: 6

    Synopsis: Le monde a perdu de ses couleurs. Les choses sont les mêmes, les gens sont les mêmes, aiment les mêmes choses, portent les mêmes choses, rien n'est unique. Rien n'a d'individualité.
    Sauf lui. Un petit garçon de 11 ans voit les visages et les noms des gens "gribouillés", comme si quelqu'un avait passé de l'encre noire dessus. Après un passage à l'hôpital, le verdict est clair: cette maladie hors du commun le tuera le jour de ses 12 ans. Mais plutôt que de pleurer sur son sort, notre protagoniste en est ravi: s'il est le premier à en mourir, cette étrange maladie portera son nom, et il pourra enfin être individualisé, sortir du décor monochrome de la société. Sauf que son bonheur prendra très vite fin: il n'est pas le seul à souffrir de cette maladie. Une petite fille, elle aussi, en est atteinte, et voit son 12ème anniversaire s'approcher plus vite que lui. Par peur que son nom ne devienne pas celui de sa maladie, le garçon se donnera une seule mission: tuer cette fille, avant que sa maladie ne le fasse. 

    Avis: 6 chapitres, et je suis déjà autant accrochée à l'histoire! Un petit peu de gore pour les deux premières pages du manga, sinon le reste est entièrement "psychologique". Je ne sais même pas quel genre donner? C'est drôle, intriguant, la relation entre le petit garçon et la petite fille (dont on ignore complètement le prénom) est complètement différente de ce qu'on peut retrouver ailleurs, loin d'être amoureuse et amicale, et pourtant sans s'approcher de la haine. Chacun ont leur propre but, et deux visages différents qu'on veut s'empresser de découvrir. Tout est original de l'histoire et des personnages jusqu'aux dessins. A lire absolument!


    Je parle probablement dans le vide mais n'hésitez pas à me donner votre avis dans les commentaires; et je rajouterai peut-être des nominations spéciales (le plus drôle, le plus triste, etc...). Peut-être.

    Kurumi-chan

     


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  •  

    Comme l'indique le titre, cet article parlera de mangas shojos.

    Un shojo, qu'est-ce que c'est ? Par définition, un shojo est un manga destiné aux jeunes filles. Bien que la majorité d'entre eux traitent de romance, un shojo peut aussi complètement exclure ce genre, et parler, par exemple, de musique, d'amitié, etc. 

    Passons la nuance de sexisme qui s'infiltre dans la définition d'un shojo. Honnêtement, je lis tous types de mangas, vraiment tout, shojo, shonen, sienen, j'ai vraiment tout apprécié. Mais il faut dire que ces "mangas pour filles" nous réservent bien des surprises ! Ici je vais uniquement parler de ceux qui parlent de romance car ce sont qui, dans cet article, méritent le plus d'attention.

    Les clichés

    Il ne faut pas avoir lu des shojos depuis sa plus tendre enfance pour se rendre des nombreux clichés qu'ils contiennent. Voici une liste des clichés les plus courants.

    Le garçon populaire: Je pense que c'est le plus courant de tous, le garçon populaire que toute l'école connait, les filles rêvent de sortir avec lui et (en général) laisse la protagoniste de marbre. Il dépendra enfin de la suite si: la fille tombe amoureuse mais abandonne face à sa popularité complètement irréaliste, ou le garçon fera tout pour que la fille le remarque. 
    Exemple de manga avec ce cliché:

    Usotsuki ouji to nisemono kanojo

     


    La fille emménage chez le protagoniste: 
    Voici le cliché, le moins réaliste de la planète entière. La fille se fait virer de chez elle, ou alors ses parents s'enfuient face à leur dette, et n'a plus d'endroit pour vivre. Et bien sûr, au lieu d'appeler la police ou de se tourner vers une association, quelle meilleure idée que d'aller vivre chez un garçon complètement inconnu qui - bien sûr - vit seul pour des raisons vagues ? 

    Exemple de manga avec ce cliché:

    L-DK

     


    La fille est exemplaire, le garçon est un délinquant:
     J'ai d'abord trouvé l'idée très originale dans "Tonari no kaibutsu-kun" mais j'ai réalisé que cette "idée" se répétait très souvent. En général, le garçon ne vient presque jamais à l'école et saute souvent les cours, et la fille est demandée de le convaincre de suivre les cours. C'est un cliché peu récurrent mais assez présent tout de même, il n'est par contre pas très gênant.
    Exemple de manga avec ce cliché:

    Koisuru Harinezumi



    La fille se fait harceler par ses "fans": Cela fait suite au "garçon populaire". Après que la fille se soit rapprochée du protagoniste si connu qu'il semblerait être une célébrité, son fan club prend la fille à part, l'humilie, la harcèle, l'enferme quelque part, ou peu importe qui pourrait lui apprendre à ne pas se rapprocher du garçon qu'elles admirent tant. (Pathétique. Les filles, si vous l'aimez faites quelque chose plutôt que de crier "kyaaaa!" chaque fois qu'il croise votre chemin.)
    Le plus souvent, soit le prince charmant intervient et libère sa princesse, soit il arrive trop tard mais lui promet un amour éternel pendant qu'elle est enfermée dans le placard.
    C'est probablement l'un des clichés qui me fatiguent le plus à lire.
    Exemples de manga avec ce cliché:

    Haru Matsu Bokura

     


    2 antagonistes menacent le couple principal: 
    Ce n'est pas si mauvais que ça, en fait j'aime bien celui là, n'empêche qu'il se trouve dans 98% des shojos romance. 
    En général, la protagoniste se rend compte que le garçon est très proche d'une fille qu'elle ne connaît pas. Le plus souvent, elle est soit une amie d'enfance, soit une ex petite-amie, ou bien même un ancien amour non partagé.
    La fille devient jalouse, malentendu, et quelques chapitres plus tard tout le monde est heureux.
    ET VOICI LE PLUS FRUSTRANT: un autre garçon vient agir de la même manière avec la protagoniste, sauf qu'il sort souvent de nulle part et que personne ne le connaît. Il tombe souvent amoureux avec la protagoniste et va essayer de "briser" ses quelques affinités qu'elle eut avec M. Prince Charmant. 
    Je réalise que dans 98% des mangas de ce genre, je supporte toujours le deuxième garçon, l'étranger, qui bien sûr, ne gagne jamais. C'est donc juste une montagne de frustration à la fin, quand la fille fait son choix (qu'on connaissait depuis le départ). La plupart du temps, ce que je ne supporte pas, c'est que l'étranger est un garçon gentil et attentionné, qui est rejeté de la plupart des lectrices car son personnage est trop, banal, trop  "normal". Mais honnêtement, je préfère ça au tsundere qui énerve tout le monde avec ses émotions douteuses, ou encore au garçon qui traite la protagoniste comme un objet, qui devient possessif et jaloux à la moindre occasion, et qui va frapper dans un mur avec son poing tellement fort que le mur est endommagé (tout le monde sait que les murs sont fragiles) et va dire des phrases "tu m'appartiens, ne parle à personne d'autre qu'à moi." 
    Et si vous lisez ça et que vous vivez la même chose, alors appelez un numéro d'urgence, car ce n'est pas de l'amour mais une relation abusive.
    Exemples de mangas avec ce cliché:

    Ao haru ride      

     


    La protagoniste est une chochotte 
    Quoi ? Il n'y a pas d'autres mots, si ? Elle pleure, pleure, pleure, pleure tant et tant qu'après 3 chapitres, on veut juste lui donner une bonne gifle pour qu'elle se ressaisisse. Il faut savoir que pour réussir un bon manga romance ou simplement une histoire d'amour, il faut que le lecteur s'identifie, d'une manière ou d'une autre, au protagoniste. Si le personnage principal (ici, pleurnicheuse) ne fait rien d'autre que pleurer pour des choses futiles personne ne va s'identifier à elle, et le fait qu'elle devienne un personnage vide et sans comportement attachant tape rapidement sur les nerfs. 
    Donc voilà, les "je pense qu'il ne m'aime pas, j'ai été stupide de croire ça, je pleure" c'est énervant. Alors le pire, c'est quand elle pleure pour le garçon qu'elle aime, et qu'elle lui a parlé deux fois.
    Mais le pire, le pire du pire, le pire de tout ce qu'elle peut dire c'est "quelqu'un comme moi". Trouvez moi une seule personne sur Terre qui dit "tu es populaire, moi je suis juste une fille normale, comment peux-tu aimer une fille comme moi?" que je lui remette ses pensées en ordre. Alors oui il y a des variations, mais quand la fille commence à  placer le garçon  dans une case similaire à un Dieu, et compare sa position à celle d'un insecte, j'ai envie de me cogner la tête contre un mur. Donc petite pleurnicheuse, peu importe à quel point il est populaire, peu importe à quel point tu es impopulaire, vous êtes tous les deux des êtres humains, l'un n'a pas une valeur plus grande que l'autre.

    Hiyokoi

     

    Voilà, c'est tout pour la première partie ! Je vous revois la semaine prochaine pour la deuxième!


    A bientôt

    Kurumi

     


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  •  

    Hey hey ! 
    Vous pensiez que je vous avais encore abandonnés ? Et bien non, je suis toujours là ! Il y a plusieurs mois de cela je vous avais parlé de l’anime Noragami et m’étais enthousiasmée sur le fait que la saison 2 sorte. Et en effet, je l’ai regardée (la deuxième saison) dès sa sortie. Je me suis dit qu’une petite review était d’ordre pour mon retour, donc j’ai regardé à nouveau les 13 épisodes et voilà la conclusion à laquelle je suis arrivée. Je tiens à préciser que j’ai déjà lu le manga et que cette critique sera faite indépendamment de la suite de l’histoire. Je ne tiendrais rien d’autre en compte que la qualité de cette suite qu’on a beaucoup dû attendre ! ~(=*w*=)~ 


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    Graphismes :  7,5/10
    Petite baisse de qualité par rapport à la première saison, je me suis même demandée à plusieurs reprises s’il s’agissait de la même personne qui avait été mise en charge des dessins. Certaines scènes, comme la tête de Yato quand il est énervé ou le fait que la tête de certains personnages disparaissent au bout d’une certaine distance laissent le spectateur un peu perplexe. On dirait qu’ils se sont un peu précipités sur certains plans, et donc la baisse de qualité est conséquente. Mais dans l’ensemble les dessins restent beaux et correspondent à l’univers particulier de Noragami.

     

    Animation : 8,75/10

    Même chose que pour les dessins. Les scènes de combat ont été clairement améliorées mais les scènes les plus courantes, sans grande action ont été bâclées – petits détails qu’on ne remarque pas forcément la première fois qu’on regarde l’animé, mais faites un peu attention ! (D’ailleurs on dit anime ou animé ? Je me suis toujours posé la question du coup j’écris les deux…)  Ce n’est pas parfait, mais les combats étaient toujours excellents et j’ai apprécié.

    Histoire : 6,5/10
    Là, sur le net, c’est un avis extrêmement partagé. L’arc Ebisu est en effet très important, car il nous explique un nombre impressionnant d’éléments dont on aura besoin dans le futur (si l’anime continue ou pour ceux qui lisent le manga) et je le sais très bien. Mais je n’ai jamais été une fan des retour en arrière dans les films, séries, jeux-vidéos, mangas et anime et Noragami n’y fait pas exception. Lorsque cela prend sur un animé entier je ne supporte pas. Le passé de Bishamon était certes intriguant, ils ont trop fait traîné sur les épisodes « mystères après mystères » et cela fait qu’on s’ennuie très vite. L’absence d’humour sur une très longue période dans un anime supposé être comique se fait beaucoup ressentir et c’était ce que j’ai ressenti à ce moment-là. 
    Sans préciser que certains éléments que je juge importants ont été supprimés ou modifiés, dans l’anime principal aussi bien que dans les OAV /SPOIL/ Vous souvenez-vous de quand Ebisu dit à Hiyori que seule elle peut appeler Yato à la surface ? Et bien en fait, ce n’est pas supposé être lui, mais une petite fille en yukata à la longue chevelure blonde qui le dit. Peu après, elle prend Kofuku à part pour lui parler, on ne sait pas ce qu’elles disent mais Kofuku affiche une expression surprise et s’incline face à elle. Et il est précisé dans le manga bien plus tard que les Dieux ne s’inclinent pas facilement par rapport aux autres Dieux et qu’il faut qu’ils aient des positions supérieures. Pourquoi une Déesse si supérieure à Kofuku viendrait sauver Yato ? Un autre personnage entre en scène. Les théories sur internet fusent alors je vous conseille d’y faire un tour car nous ne sommes pas là pour cela. Enfin bref. Je ne l’ai pas compté dans ma note, mais c’est dommage, vous ne trouvez pas ? /SPOIL/

     

    Musique : 9,5/10

    La musique était PAR-FAI-TE. La seule raison pour laquelle je n’ai pas mis la note maximale, c’est parce que ce sont toujours les mêmes musiques qui passent en boucle peu importe ce qui se passe. Il doit y en avoir, quoi 5-6 ? Et elles sont répétées sur tout le fil de la saison. Je ne peux rien reprocher car cela coûte beaucoup d’argent d’en avoir plus, mais sinon excellent travail. Sans parler de cet ending, « Nirvana », qui a – oui c’est possible – surpassé l’ending de la saison 1. Magnifique. 



    NOTE GLOBALE : 8/10
    Conclusion :

    La saison 2 de Noragami n’est en rien comparable à la saison 1 : en effet, plutôt qu’une « rivale » je la considérerai comme un complément à l’histoire principale. Malgré une légère baisse de qualité graphique, l’histoire reste originale en elle-même. L’arc Ebisu m’a convaincue, même si le passé de Bishamon a pris, selon moi, une trop grande partie des épisodes ; mais bon, ne nous plaignons pas, car Yukine-kun nous a tout de même réservé une très belle surprise n’est-ce pas (●´ω`●) ? 
    Même si c’est tentant pour certains, ne sautez aucun épisode ou vous serez largués. Même si les scènes d’humour ont été réduites, celui-ci est toujours aussi fort et j’ai bien ri tout au long de cette aventure. 

    Adachitoka, j’ai hâte de lire vos prochaines aventures ! (
    )*:・゚ 

    noragami reaction gif
    Moi en train de lire noragami

     

     

     

    P-S : Mes petits onigiris, c’est la CATASTROPHE ! Je cherche un thème d’été pour mon blog, mais personne n’est disponible pour m’n faire un… Si quelqu’un ici a des compétences en tant que codeur- graphiste, merci de me contacter avant le 30 juillet :3 


    Love ,

     

    Kurumi


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  • Au Japon, la nature est vue comme sacrée. Les arbres, plantes, montagnes, sont tous des éléments divins faisant partie du quotidien. Voici plusieurs emblèmes de la nature Japonaise:

    La fleur de cerisier: sans grande surprise pour vous probablement. Chaque année, le pays retient son souffle pour voir celle-ci éclore et amener le printemps. Sakura

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    Le pin: Il s'agit d'un arbre à feuillage persistant (il ne perd jamais ses feuilles quelle que soit la saison) très présent au Japon, il représente donc la longévité. Matsu

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    Le chrysanthème: Cette fleur à seize pétales et symbolise l'empereur. Elle est donc souvent retrouvée sur les kimonos, temples, etc... Kiku

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    La libellule: La libellule représente la légèreté et l'élégance. Très appréciée par les samouraïs, le Japon avait donc autrefois été surnommé Akitsu-Shima (l'île aux libellules). Akitsu

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    La biche: "Le parc Nara est un endroit riche en végétation et abrite plus de mille deux cent daims -à peu près- très mignons je dois dire" C'était la phrase que la Modératrice Yumiko-nee avait posté lors de son article sur les lieux incontournables du Japn. Et en effet, la biche étant considérée comme le messager des Dieux, elle se trouve en grand nombre dans le parc de Nara, mais aussi dans la ville tout entière. Shika

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    Le Pavillon d'Or et le Mont Fuji sont aussi de grands symboles au Japon. 

    Merci d'avoir lu, mes petits sushis!

    Kurumi


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